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Dans ma rue

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7 février 2014 5 07 /02 /février /2014 12:49

Une Constitution écrite, pensée, conçue

Par des constituants, de la plèbe à la haute,

Désignés par le sort d’un tirage sans faute

Nous ferait citoyens, quidam, stricto-sensu. 

 

Les grands embobineurs,  professionnels ou non,

Les carriéristes élus puis réélus à vie,

Aux ordres des banquiers, leurs fidèles nervis,

Rentreront dans le rang, celui de l’artimon.

 

Les jurés d’assises rendent bien la Justice

Au nom du peuple, ils en honorent ainsi l’éclat

D’être tirés au sort, gageant le postulat

De la devise qui orne nos frontispices.

 

Ils aiment le pouvoir, ce un pour cent fantoche,

Dégoulinant d’oseille et la main sur le cœur,

Nous promettent merveilles et meilleures liqueurs,

Que nous n’aurions sans eux, entre-temps ils empochent.

 

Sans contrôle efficace, nous leur laissons les clés

De cette République, une et indivisible,

Insécable, affaibli, indocile, intangible,

Qu’ils mènent sans vergogne vers un destin bâclé.

 

Cette aristocratie, cette frange dorée

Nous entraine bien loin de la démocratie.

En conflit d’intérêt bien compris et concis,

Ils écrivent et appliquent les textes préparés.

 

Séparer les Pouvoirs devient une évidence.

Exercer le contrôle du peuple souverain

Sur les tirés au sort, graver la Loi d’airain,

Se retirer alors sans heurt et sans nuisance.

 

Elle aurait belle allure notre démocratie !

Constituants, exécutants dépareillés

Du peuple issus, révocables et surveillés,

C’est volonté du peuple dans sa suprématie.

 

Jean-Charles Theillac

 

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8 mai 2009 5 08 /05 /mai /2009 13:09

Zapping sur le bilan ...et ALEVEQUE en prime


Putain, deux ans c’est long ! Encore trois pour le compte.
Ce n’est donc pas fini ? Pourtant il avait dit
Que ‘’c’était la victoire de la France, chers amis ‘’.
Pardon ‘’cher ami’’, je n’en suis pas, j’ai honte.


Bien sûr, y’a eu la crise. Il faut bien faire avec.
Cher Monsieur Président, pourquoi éprouvez-vous
Le besoin cardinal, comm' disait ALEVEQUE,
D’en  rajouter toujours, sans arrêt et partout ?


De vos prédécesseurs, vous êtes la synthèse.
Pas de celle qui vous placerait au milieu
Encore moins au-dessus, de la Nation française,
Mais le PPCD(*), ni illustre, ni glorieux.


Comment des gens brillants, enfin, …passant pour tel,
Peuv’nt-ils constituer une cour aussi ‘’toc’’
Et devenir ainsi, fourbes et superficiels,
S’exprimant en  play-back comme des ventriloques ?


Vous en êtes l’auteur, le Mickey, le loustic.
Vous leur dictez les mots, les idées, l’évidence,
Les clins d’œil anodins, les foucades et les tics,
Sans vous préoccuper de vos propres carences.


On vous doit le respect d’avoir été élu
Dans la pure tradition de notre République.
Mais au nom de cela, nous sommes résolus
À briguer pour la France un patron authentique.


Prenez de la hauteur : faites confiance aux hommes
Que vous avez nommés. Montrez-nous le chemin,
Indiquez-leur la voie. Laissez ce décorum
Et cessez vos promesses, habillez-vous d’humain !


Imaginez De Gaulle, Pompidou ou Tonton
Tapant sur les épaules de leurs concitoyens !
Vos moult privautés ne sont qu’agitations
Destinées à briller parmi les ‘’bons à rien’’.


De votre mise en scène, le ‘’vrai’’ peuple en a marre.
Du caïd de banlieue ‘’bling’balante’’ et hautaine.
A choisir il préfère, d’authentiques loubards,
Car avec eux au moins, il y’a la quarantaine.


Homme d’Etat, vous n’êtes pas. Des tas d’hommes le sont.
Mais ils se font discrets et n’ont pas le forum
Et la cour partisane à leur disposition.
Des richesses terrestres, ils ne sont pas les gnomes.


Vous êtes l’opportun de tout opportunisme.
Vous prenez les postures de vos chères impostures.
Vos interrogations et vos trop nombreux truismes
Ne trompent plus personne sur votre mandature.

Jean-Charles Theillac

 

(*) Plus petit commun dénominateur

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29 avril 2009 3 29 /04 /avril /2009 21:05


Nos hommes politiques ont changé de nature.

Ils sont là par défaut, il faudra nous y faire !

Ils prononcent des mots de « petite facture »,

Les vrais mots des vrais gens, ce n’est pas leur affaire.  

 

À voir certains d’entre eux s’attarder, se farder,

Prendre la pose et s’imposer devant médias,

Caméras et micros, faisant mine fondée

À pouvoir expliquer le « mystère des Mayas ».

 

À prendre la posture, ils se caricaturent.

L’antienne quotidienne qu’ils assènent à l’envi

Evoque parfois une équivoque imposture :

D’avaler leur discours auquel ils nous convient.

 

T’as beau te répéter : « Imposture, imposture !

Est-c’ qu’il a une gueule d’imposture ? » A-t-on le droit

De qualifier tout net un élu d’imposture ?

Puisqu’il en est ainsi, je l’appelle  « impostat » !

 

Mais alors ! « Impostat » vaut mieux que deux postaux ?

J’en connais déjà un. Mais qui peut être l’autre ?

À ce petit jeu-là, il me faudra bientôt

Présenter des excuses à tous ces bons apôtres.

 

La posture c’est le port, l’attitude du corps.

L’impostur’ c’est vouloir êtr’ ce que l’on n’est pas.

Mais quand on est petit comme un alligator,

Paraître un crocodile, c’est pas un peu fada ?

 

Vouloir être plus grand que ce que l’on paraît,

N’est-ce pas l’imposture érigée en Principe !

Autant dire du toc traité comme du vrai

Et les canards sauvages… pour Fanfan la Tulipe.


Jean-Charles Theillac

29 avril 2009

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17 décembre 2008 3 17 /12 /décembre /2008 21:53

Le changement de siècle est en train d’apparaître

Entrainant dans le flux de ses eaux bondissantes,

Toutes idées reçues, toutes les raisons d’être,

Le temps de certitudes et les gloires finissantes.

 

Ce tsunami mental, cette hérésie funeste

Pourraient bien égaler, en malheurs et en peines,

Les grandes tragédies, les pandémies de peste,

Les profits et mépris et les ferments de haine.

 

Des mondes virtuels aux concepts fictifs,

Des écrans de fumée en guise de pare-feu,

On assiste incrédule, soucieux et attentif,

À la fin d’un empire, à l’agonie d’un dieu.

 

Avant que n’apparaissent les contours incertains

D’un siècle qui débute, soubresauts et chaos

Agiteront le monde de ceux qui n’ont plus rien,

Plus d’espoir, plus d’amour et la faim en écho.

 

Certains sont à compter leurs milliards perdus

Dans l’immense dédale de la « financerie ».    

On pourrait compatir si nous n’étions pendus

Déjà aux conséquences de cette escroquerie.

 

La tradition propose qu’en période de vœux

On présente les bons et surtout les meilleurs,

Pour conserver l’espoir, épargnons-nous l’aveu

Que nous ne somm’s pas dupes et que nous avons peur.

 

Jean-Charles Theillac

 

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8 novembre 2008 6 08 /11 /novembre /2008 11:39


J’en ai marre d’entendre les mêmes mots idiots,
Je vous le dis tout net. Qualifier l’étranger
Qui, depuis quarante ans, traine son lourd fardeau,
D’adjectifs et de noms Ô combien périmés.


Je n’accepterai plus qu’on m’imposât l’écoute

D’insultes envers ceux qui n’ont pas mérité,
Quelle qu’en soit l’origine et quelle qu’en soit la route,
D’être, à ce point l’objet d’une haine héritée.


Les bougnoules, les ratons, les nègres, les youpins,

Autant de noms charmants prononcés en riant,
Par de vrais ramollis et de pâles crétins,
Médiocres franchouillards, va-t-en guerre navrants.


Les cons sont de tous poils et de toutes origines(*)

De tout’s couleurs de peaux mais ils sont, eux aussi,
Des êtres à part entière, qui bien sûr nous chagrinent,
Mais que serait le monde sans ces hommes ainsi.


Tolérer de son mieux l’intolérable idée,

Sous prétexte de gloire à l’amer souvenir,
Que des hommes subissent la vindicte passée
D’autres hommes ignorant leur propre devenir.


Je suis intolérant face aux propos abjects

Prononcés ça et là, faute de tolérance,
D’agités du bas-ventre en mal d’intelligence,
Des racornis du bulbe, des absents de l’affect.


Je n’ai aucune haine, ne vous méprenez pas,

Seul’ment de la colère, voire un écœurement,
Face aux discours ambiants. Je n’imaginais pas
Qu’on en soit encore là, dans tous ces errements.

 

Jean-Charles Theillac

 

 

(*)Voir mon texte : « Histoire à la con »

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16 octobre 2008 4 16 /10 /octobre /2008 11:45






























Sur la musique de:
"Je n'suis pas bien portant"
de Vincent Scotto et Gaston Ouvrard

 

En ces temps de folles actions,

Il est bon de planquer ses pions,

Aller à la pêche au pognon,

Pour garantir tous ces vieux cons.

Dans ce cas on n’hésite pas,

A faire appel à grand-papa.

 

J’ai le CAC qu’est patraque

Le Sarko pas très beau

Le Fillon un peu rond

La Bruni qu’est punie

Le Borloo qu’en fait trop

La Boutin dans l’bottin

Rachida qu’est baba

Le Darcos très précoce

Le Xavier chevillé

Le Bockel au bordel

Le Nanard qu’est peinard

Le Jego qu’est Dingo

L’Hortefeux qu’est hors-jeu

La Lagarde qu’est hagarde

Le Laporte qui la porte

Nathalie en folie

 

Ah ! Mon Dieu qu’c’est embêtant

D’avoir baissé le CAC

Ah ! Mon Dieu qu’c'est embêtant

D’être au Gouvernement.

 

Fadela dans l’quota

Le Chatel à Vittel

Novelli à Vichy

Et le CAC qu’est en vrac

Morano au bistrot

Le Morin dans le Train

Et Rama qu’est pas là

Santini qu’est au lit

Karoutchi qui fléchit

Eric Woerth qui nous heurte

Le Marleix en annexe

Et l’Idrac à la fac
Joyandet, tu connais ?

Et Jouyet qu’est raillé

Bussereau qu’est tout beau

Et Martin fait tintin.

J’ai l’Besson, dans l’cal’çon

J’ai l’Alliot dans la peau

Le Barnier tout entier

Et le Blanc sur l’écran.

Si j’en ai oublié

C’est un trou de mémoire

J’écrirai un couplet

Tant pis pour Sarkozy

 

Ah ! Mon Dieu qu’c’est embêtant

D’avoir baissé le CAC

Ah ! Mon Dieu qu’c'est embêtant

D’être au Gouvernement.


 

Jean-Charles Theillac

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6 octobre 2008 1 06 /10 /octobre /2008 00:07


On est sûr maintenant que l’ancien communisme,
Est très précisément, l’inverse ou le contraire,
Du très valorisant nouveau capitalisme.
N’en déplaise à certains, les deux font bien la paire.

Pendant soixante années, les plus grandes an’ ries
Nous ont été vendues pour de l’argent comptant,
Rostro, au pied du mur, comme une walkyrie,
A bouté les soviets au-delà des Balkans.

L’oncle Sam aujourd’hui, supporte l’anathème,
Et c’est plutôt funèbre, qu’est cette marche là.
« La mine triste, les yeux battus et les joues blêmes »,
Raisonne l’hallali, pour qui sonne le glas.

Une troisième voie est en-train d’enfanter.
Pourvu qu’elle ne soit pas une hydre éternelle,
Qui renaît chaque siècle d’un cerveau éventé,
Pour mieux nous couillonner de rapports paternels.

Le « nuage atomique » ne pass’ra pas chez nous.
Bien trop peur de Sarko, il se détournera
Vers d’autres pauvres gens, un peu « mous du genou »,
Qui n’ont pas élu eux, un ténor « d’Opéra ».

Comme disait Coluche, faut pas nous prendre, que,
Pour des cons. Car enfin, c’est pas bien de gagner
Trop d’argent virtuel et se cacher, quoique,

D’un tel état d’esprit, on peut s’en indigner.

Jean-Charles Theillac

 

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8 septembre 2008 1 08 /09 /septembre /2008 17:39

La question politique est chose trop sérieuse
Pour être confiée à de quelconques hommes
Qui n’ont qu’un seul souci, celui de faire comme…
On verra bien après. Marianne est généreuse.


Parlons des intellos, à force de médire
Sur leur capacité, on nous vend, c’est peu dire,
Un « lait » pasteurisé, sans saveur ni odeur
Mais sain pour avaler, la potion du leader.


Renaissez Montesquieu, Jean Jaurès et Voltaire
Les esprits d’aujourd’hui ne sont pas légataires
De vos enseignements sous prétexte qu’avant,
C’est ringard, dépassé, désuet, malfaisant.


Vous nous avez appris, à penser, critiquer,
Comparer et voter. Dans ce monde étriqué
D’une « pseudo » pensée qui sert de repère
A des êtres paumés que la vie désespère.


Des partis politiques, devraient naître les guides
Des années de demain, des esprits bien lucides,
Capables d’exprimer, sobrement, sans ambage,
Leur projet, leur mission et leur fonction en gage.


Il faut bien s’occuper des affaires de la France,
Nul n’est besoin pourtant d’autant de déférence.
Nous, on veut seulement d’un peu de différence,
Pour cela il vous faut du talent, de l’aisance.


Au-dessus des clivages, il doit se situer.
Avoir de bons principes, être de loyauté,
Indépendant des uns, sans ignorer les autres.
Capable d’endosser l’habit de bon apôtre.


Un acronyme enfin, qui cache bien son jeu
Edwige n’est-il pas, un prénom délicieux ?
Jusqu’où oseront-ils aller dans l’entregent,

Pour satisfaire encore, des « clients » exigeants.

 

Jean-Charles Theillac

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26 mars 2008 3 26 /03 /mars /2008 20:24
Islam.ppsau nom de quoi et de qui ???


Je hurle ma honte et ma colère
Voir cet enfant à terre
Torturé comme un homme
Puni, d’avoir volé un’ pomme
Par des adultes consentants
Qui se prétendent croyants.

Bande de lâches et renégats
Suppôts de Satan, il  faudra
Payer tout ça et sûrement plus
De vos vies à l’angélus
Horde d’animaux assoiffés
Au nom de qui vous exercez ?

Montrer vos vrais visages
Ils sont laids, et ils puent
Traduisez : « Peigne-culs »

Bande d’êtres sauvages…


…il faut que je vous dise


 

Combien faut-il de haine pour tuer à l’envi,

Des hommes et des femmes et de pauvres enfants,

Dont le défaut majeur fut de croire en la vie

Et d’avoir été là, au cœur du guet-apens.

 

Qu’un tel aveuglement, puisse arriver à l’Homme,

Bien sûr, c’est évident que Dieu n’y est pour rien.

C’est une ignominie, une infamie des hommes.

Vouloir dominer l’autre pour lui spolier son bien.

 

Des milliers de victimes, dans un camp comme dans l’autre :

N’est-ce pas suffisant pour calmer les ardeurs,

Et vivre enfin en paix grâce à de bons apôtres,

Les négociateurs neutres et baroudeurs !

 

Querelles de mosquées et querelles d’églises

Ont parcouru le monde en tuant, çà et là,

De pauvres innocents comme des cancrelats.

Assez de morts Messieurs, il faut que je vous dise :

 

À quoi sert de croire en un Dieu de bonté ?

Vous n’avez pas le droit, sous couvert de croyance,

De tuer d’autres gens, innommable fierté.

Ce sont vos frères qui meurent, arrêtez les souffrances.

 

Quant on met tant d’ardeur à brûler un dessin

Et tant de volonté à défendre l’honneur

De sa propre personne, se moquant du voisin,

La discrétion s’impose, comme la clé du bonheur.

 

Il faut que je vous dise, le respect de chacun,

C’est la liberté d’être et de croire, parbleu !

Penser ce que je veux au moment opportun.

D’honorer qui je veux et me choisir un dieu.

 

Jean-Charles Theillac

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14 février 2008 4 14 /02 /février /2008 19:30

Comment peut naître un mot ? De la nécessité ?

D’une idée saugrenue née dans l’esprit d’un homme ?

Prenez le mot « Machin ». Il désigne un bonhomme.

Avec un petit « m » c’est plutôt un outil.

Un truc, un ustensile, un marteau, une faucille.

C’est vrai au féminin, Machine est une dame

Maîtresse de Machin ou simplement sa femme,

Une inconnue célèbre que l’on ne peut nommer.

 

Par contre une machine fait marcher le machin.

A moins qu’un grain de sable ne vienne saborder

Les efforts de Machin à faire tourner l’engin.

On ne dit pas « engine » à moins d’être enrhumé,

Dans ce cas c’est l’angine qui est à l’origine

De l’arrêt maladie de madame…Machine

Ou de Monsieur Machin, à votre gré…taquins !

 

Y a t-il un seul mot qui nous serait utile,

Avec un peu d’humour et un brin de malice,

D’inventer sur le champ sans en faire un caprice,

Mais un brin tendancieux, voire quelque peu futile.

En  partant de « bling bling ». Il y’a eu les « bo-bo's »

Il y’a les "blingophiles" et bientôt les "bling'os"

Nul n’est tenu de s’y identifier,...Quoique!

Jean-Charles Theillac

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