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Dans ma rue

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  jctheillac@gmail.com

17 juin 2008 2 17 /06 /juin /2008 17:41

Je sais un monde à moi où la vie est ailleurs,

Cette vie qui m’émeut et chaque fois je pleure,

Viendras-tu partager ces larmes de malheur

Qui roulent sur mes joues, pour un peu de bonheur ?

 

Les songes de la nuit me parcourent le corps.

D’entre mes draps, mes nuits sont plus belles encore :

Chimères noctambules, Aphrodite et Chimène

Viennent me visiter pour me conter fredaines.

 

Vous m’avez fourvoyé dans vos douces contrées,

Où l’herbe est bien plus grasse que dans les plus beaux prés,

Où les mots que j’écris fleurissent aux milles feux

De l’enfer des vivants, à l’instar des dieux.

 

Quand je hurle ma peur, quand je crie mon émoi,

Qu’une petite flamme fasse éclater sa joie !

C’est mon cœur tout entier qui saigne et se répand

À l’intérieur de moi, sans un’ goutte de sang.

 

Je sais un monde à moi où la vie est ailleurs,

Où l’amitié, l’amour ouvrent grand le portail.

Pour ceux qui veulent encor’ boucler leurs accordailles,

Les cœurs sont béants de bonté et de fleurs.

 

 

jeancharles theillac


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10 juin 2008 2 10 /06 /juin /2008 00:10

C’est une femm' perdue au milieu de la nuit,

Des ténèbres obscures et des pensées qui fuient,

Et la mélancolie d’un rêve inachevé

Qui plane sur son cœur et ne peut exulter.

 

Donnez-lui la lumière du ciel et de la terre.

Du bon dieu et des saints, arrêter son calvaire.

Donnez-lui de la force et la ténacité,

Pour affronter la vie et combler ses souhaits

 

Rien n’est définitif, ne perdez pas patience,

Regardez en vous-même et reprenez confiance,

La vie a bien souvent de très beaux lendemains

 

La providence est là à portée de vos mains,

Ouvrez vos jolis yeux (si, si) et croquez là-dedans

La pomme de l’amour, de la vie, et du temps.

 

Jean-Charles Theillac

le 10 juin 2008

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9 juin 2008 1 09 /06 /juin /2008 00:10












Qu’on dissolve une union, pour un jardin secret

Faut de la volonté d’emmerder la Justice.

N’a-t-ell’ rien d’autre à faire, que traiter les coulisses

D’alcôves citoyennes, de touchers indiscrets.

 

Si la virginité est vertu essentielle,

De nombreux mariages sont alors accessoires.

Et si le mensonge est, note éliminatoire,

Les cancres vont volés très bientôt dans le ciel.

 

Rachida a grand’ peine à venir au secours

D’une magistrate qui s’empêtre la robe

Dans des attendus que… On emballe on enrobe,

 

Dans du « papier de soie », pour faire un bon discours.

Gonflé, le mec enfin, de défendre sa cause.

Une vierg’ pour amante, ça me dit quelque chose…

 

Jean-Charles Theillac

Le 9 juin 2008

Voir l'article de Libé

 

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8 juin 2008 7 08 /06 /juin /2008 15:08

À l’instar de Florence, il est mort le « bon sens ». 

Celui de notre enfance, des vieux qu’ont fait les guerres,

Qui respectaient les autres et qui se levaient tôt.

Son état de santé a rencontré l’errance

Et puis s’en est allé, au-delà des frontières,

Des sens et des raisons, des délires mentaux.

 

Il s’est bien accroché à quelques bons apôtres,

Mais « bon sens » a péri quand un instituteur

Qui en était porteur, a voulu corriger

Un potache excité qui s’en prenait aux autres,

D’une gifle appliquée, s’est retrouvé plaideur,

Et a dû abdiquer du « bon droit » érigé.

 

À force de non sens et de sens interdit,

Nul(le) doute qu’on en perde le bon sens commun.

Des sens dessus-dessous, des sens devant-derrière,

Comment s’y retrouver, dans cette comédie.

Se préserver d’autrui, défendre ce défunt,

Devient parfois suspect et souvent subsidiaire.

 

Tous les cons n’iront pas à son enterrement,

Mais les us et coutumes renaîtront pour de bon.

Les hommes ne sont pas des ennemis d’eux-mêmes.

Le bon sens évident gagnera calmement

Les âmes et les cœurs, les méchants et les cons,

Quand nous respirerons l’odeur des chrysanthèmes.

 

Jean-Charles Theillac

Le 8 juin 2008

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6 juin 2008 5 06 /06 /juin /2008 00:10

Depuis le 26 mai, suite à une grosse panne d'Over-Blog
je n'ai pu publier de nouveaux articles. J'avais prévu ce

"sonnet du jour" pour le 27.
Je parlais de la sonde Phoenix sur la planète Mars ainsi qu'un
reportage du journal Sud-Ouest sur un moine de l'Abbaye de Belloc
en pays basque, qui a consacrer 30 ans de sa vie pour traduire la
Bible (Ancien et nouveau Testament) en langue basque pratiquée
de ce côté des Pyrénées.



Je suis resté baba en voyant ces images

De Phoenix sur Mars, notre sœur en planète.
Fallait-il y aller ? Au-delà des nuages,
Pour trouver une vie ou une silhouette ?

Trente ans pour une Bible traduite en langue basque,
C’est du labeur de moine d’Abbaye de Belloc,
D’hébreu en Euskara, se plonger dans l’époque,
Maîtriser le sémite et bien parler le basque.

Ces deux évènements n’ont bien sûr aucun lien.
Ils montrent à l’évidence, que le génie humain,
N’a d’espace assez grand et de tâche impossible.

La prochaine mission ayant Mars pour cible,
Je propose au hasard d’y déposer la Bible,

En basque évidemment, pour montrer le chemin.

Jean-Charles Theillac

27 mai 2008

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26 mai 2008 1 26 /05 /mai /2008 00:10

Un grain de poésie suffit à parfumer
Le temps, pour déguster l’instant et ses saveurs,
Colorées et magiques, agréables au rêveur,
Et lire silencieux les pages sublimées.


Ces petits grains d’esprit apportent la lumière,
La petite lueur qui brille au fond des yeux,
Et réchauffe notre âme d’un bonheur gracieux,
Envahie notre cœur et nos pensées premières.


Sensations inconnues et odeurs de vision,
La poésie traduit les vers en émotions
D’où jaillissent les larmes et les regrets aussi.


Un sourire léger sur les lèvres, esquissé,
Un murmure étouffé, une idée caressée,
C’est la magie des mots et des rêves en sursis.


Jean-Charles Theillac

26 mai 2008

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25 mai 2008 7 25 /05 /mai /2008 00:10


Une rose en offrande à toutes les mamans

D’hier et d’aujourd’hui. Que cette belle fleur

Caresse votre joue et vos lèvres avant

D’y poser un baiser d’éternelle candeur.

 

Ce jour est votre jour, fêté par vos enfants,

Vos époux, vos amants. Il honore les femmes

Qui ont donné la vie, perpétuant la flamme

Qui anime nos âmes et le cœur des enfants.

 

Grâce vous soit rendue, mèr’s de l’Humanité,

Héritières d’Isis. Votre fécondité,

Créatrice et divine, vous couvre de louanges.

 

Je vous adresse à toutes de chaleureux baisers,

D’affectives pensées et le salut des anges,

En ce jour de bonheur, par Dieu, mobilisés.

 

25 mai 2008

 

Jean-Charles Theillac

25 mai 2008

 
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24 mai 2008 6 24 /05 /mai /2008 00:10
Rama Yade-sarkozy dit ce qu'il dit-moi je fais ce que je fais

Tautologique ment, je pense ce que je pense.
Et si ce n’est pas vrai, le menteur n’est pas loin.
Pour amuser le peuple on use de redondance
Et de tautologie, c’est l’ère du contrepoint.


Cette charmante dame, chargée des Droits de l’Homme
Pour coller au plus près, les pensées du « grand homme »,
Se plie et se replie et sert bien à l’envi,
La soupe à Ben Ali, la louche à Kadhafi.


Son métier n’est pas simple, avaler tous les jours
D’aussi belles couleuvres, il faut les digérer
Mais pour les Droits de l’Homme, cela vaut le détour.


Il y a d’autres hommes toujours très engagés,
Qui méritent autrement les honneurs de Rama,

Ainsi que des visites sans donner d’eczéma.

Jean-Charles Theillac
24 mai 2008

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23 mai 2008 5 23 /05 /mai /2008 00:10
Lisez l'article: Sarko a peur des tracts

 

On arrête des gens, porteurs de simples tracts
Sous prétext’ que Sarko, va fouler le pavé.
J’ai précisé « porteurs », sans usage avoué.
On veut cacher au « roi » avec très peu de tact.


Les pandores sont chargés de faire place nette
Et emploient pour ce faire, des méthodes pas nettes.
Porter papiers sur soi, serait donc un délit.
Mittérand ! Au secours. Ils sonnent l’hallali.


Le bon peuple de « cerfs » se sentant acculé,
Risque de jouer des cornes, en tous sens, en tous lieux.
A force de nier et de renier, Messieurs,


Vous courez un grand risque, celui de tout couler.
Insister donc un peu ! Et la révolution
Sera devant vos portes dorées par l’illusion.

 Jean-Charles Theillac
23 mai 2008

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22 mai 2008 4 22 /05 /mai /2008 00:10

Ça patauge, ça pédale, ça déraille, ça piétine.
On avance à pas lent, les uns rechignent un peu,
Les opposants s’opposent, et les pêcheurs ruminent.
Les promesses aux marins, c’est déjà « sauve qui peut ».

Sur les Institutions, beaucoup ne veulent voir,
Au gré de ses humeurs, Sarkozy au perchoir.
Montebourg au créneau, en défend le principe,
Ce serait du Tintin au pays des tulipes.

Et Fillon qui se bat pour exister un brin,
Avalant sa pilule à jeun, tous les matins,
Pour pouvoir supporter les frasques de son chef.

Mais il tient bon le bougre, et s’offre derechef,
Une tribun’ à son goût que d’autre lui envie.

On lui prête l’idée de l’avoir toute à lui !

Jean-Charles Theillac
22 mai 2008

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