Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Dans ma rue

Créé en 09/2006, ce site a enregistré
35 314 piétons pour 116 030 vitrines vues.

 

Un poète qui ne dérange pas, ne sert à rien

Félix Leclerc

Recherche

Catherine Maisse

Les plus belles chansons de Catherine Maisse ont été rééditées en CD par mariannemelodie.fr

Histoire de roses
Les boîtes à musique
Chacun sa prière
Le temps des cerises
Paris...5 heures du matin
Voyage à Robinson

Pages

Annonces

Voyez en bas de pages, quelques oeuvres de mon ami

Contact

05 47 02 72 89
  jctheillac@gmail.com

12 août 2007 7 12 /08 /août /2007 22:51

Les affaires et l’humain peuvent-ils cohabiter ?

Doit-on forcément être féroce et mal-aimé

Pour emporter la mise d’une négociation,

D’un marché, d’une vente, ou toute autre mission ?

 

« L’homme est un loup pour l’homme », nous a dit un poète :

C’est bien là le problème.  À moins que l’on souhaite

Qu’il n’en soit pas ainsi, et que l’homme d’affaires

Puisse être un humaniste et non un mercenaire.

 

« Si tous les gars du monde pouvaient s’donner la main »,

Eliminant les loups et laissant les humains

Confronter leurs idées, s’affronter, sans vouloir

Briser l’autre, l’humilier, lui ôter tout espoir. 

 

Vendeurs, vous êtes les nouveaux gladiateurs

Du commerce mondial. Affirmez vos valeurs

Aux chefs de tout poil et à leurs acolytes

Qui vous pressent et compressent et puis vous phagocytent.

 

Refusez de subir l’arbitraire, le mépris

De ces incompétents, tous les pauvres d’esprit,

Les mal-baisés notoires, les paranos machos.

Ces méchants et ces faibles, ces fachos démagos,

 

Tous les jours vous harcèlent et croient qu’ils sont les maîtres

Du monde et alentours, toujours prêts à paraître

Aux yeux des décideurs plus doués qu’ils ne sont.

Ils s’admirent le nombril, tous les jours, en cal’çon !

 

Pauvres exécutants, réunissez vos forces 

Et votre savoir-faire puis gonflez bien le torse !

Tête haute, regard droit, combattez la bêtise :

Vous êtes plus malins que ces cons ne le disent.

 

Jean-Charles Theillac

 
Partager cet article
Repost0

commentaires